The Prince of nothingwood

Sister Distribution

TITRES
Originale
The Prince of nothingwood
deutsch
Meister der Träume
français
Nothingwood
italiano

DATES DE SORTIES
Suisse
06.09.2017
Suisse alémanique
24.05.2018
Suisse romande
06.09.2017
Tessin
NOMBRE DE SPECTATEURS

Le nombre de visiteurs indiquées représentent toutes les chiffres qui a été annoncé et saisie pour ce film depuis la date des sortie.

Suisse
1'322
Suisse alémanique
341
Suisse romande
981
Tessin

CAST & CREW
Réalisation
Sonia Kronlund
Producteur
Laurent Lavolé
Scénario
Musique
Acteurs
Documentary: Salim Shaheen
Sonia Kronlund
Qurban Ali
ÂGE D'ADMISSION

Depuis le 1.1.2013, la "Commission nationale du film et de la protection des mineurs" fixe des âges d’admission pour tous les films faisant l’objet de projections publiques dans des cinémas. L’"âge légal" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge ne subisse pas de dommage en visionnant le film. Un enfant/adolescent qui a atteint cet âge est admis seul. L’âge légal peut être abaissé de max. 2 ans pour les enfants/adolescents accompagnés d’une personne détentrice de l’autorité parentale (p.ex. avec un âge légal de 10 ans, un enfant de 10 ans est admis seul; un enfant de 8 ans est admis accompagné d’une personne détenant l’autorité parentale).
L’"âge recommandé" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge comprenne le film.
Pour tout complément d’information: filmrating.ch

Âge légal
16
Âge suggéré
16

CONTENU

Salim Shaheen, le personnage principal du documentaire « Nothingwood », est à la fois un prince de la série Z, un grand cinéaste afghan, dans un pays où la production cinématographique est plus que minime, et le réalisateur le plus prolifique au monde. Ce Ed Wood afghan a 110 films à son compteur. Dans les périodes fastes, il en tourne une dizaine par an. Les Américains ont Hollywood, les Indiens, Bollywood, et les Nigérians, Nollywood. Salim Shaheen est le roi de cette minuscule industrie qu’il a baptisée « Nothingwood ». La Française Sonia Kronlund, productrice de l’émission « Les pieds sur terre » sur France Culture, saisit dans son film la personnalité de celui dont les « superproductions » coûtent 10 000 euros : le caméraman et monteur reçoit 100 dollars par mois, et certains acteurs paient pour y figurer, afin d’inscrire sur leur CV qu’ils ont été les héros d’un film.


IMAGES


© Sister Distribution

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