Le nombre de visiteurs indiquées représentent toutes les chiffres qui a été annoncé et saisie pour ce film depuis la date des sortie.
Simon Halsey
Emico Greco
Pieter Jan Leusink
Olga Zinovieva
Depuis le 1.1.2013, la "Commission nationale du film et de la protection des mineurs" fixe des âges d’admission pour tous les films faisant l’objet de projections publiques dans des cinémas. L’"âge légal" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge ne subisse pas de dommage en visionnant le film. Un enfant/adolescent qui a atteint cet âge est admis seul. L’âge légal peut être abaissé de max. 2 ans pour les enfants/adolescents accompagnés d’une personne détentrice de l’autorité parentale (p.ex. avec un âge légal de 10 ans, un enfant de 10 ans est admis seul; un enfant de 8 ans est admis accompagné d’une personne détenant l’autorité parentale).
L’"âge recommandé" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge comprenne le film.
Pour tout complément d’information: filmrating.ch
CONTENU
Sans nul doute l’un des plus grands films musicaux de l’année. A travers l’aria Erbame Dich tiré de La Passion selon saint Matthieu de Bach, Ramón Gieling compose un flux de conscience visionnaire et homogène, qui reflète la profondeur et la complexité du chef d’oeuvre de Bach. Une expérience totalement captivante qui se concentre à la fois sur la musique et sur les effets qu’elle produit. (Visions du Réel 2015)
Jean-Sébastien Bach a 250 ans, et continue de toucher le public de manière impressionnante. Ce film se penche sur ce phénomène et suit, dans une mise en scène très forte, un ensemble de personnages qui tous ont un lien fatidique à la Passion. La souffrance et la mort du Christ ne sont pas là pour elles-mêmes, mais sont étroitement mêlées à la souffrance des hommes. Comme dans une pièce de théâtre, le peintre, le danseur, la soprano et d’autres parlent de leur rencontre avec cette œuvre, de leur relation à Dieu, du deuil et de la culpabilité. Tout cela s’intercale entre de puissantes représentations musicales et scéniques des compositions. Face aux musiciens professionnels, avec une certaine force symbolique, prend place un chœur de sans-abri qui observe les représentations et les commente dans sa présence silencieuse. Ce que tous partagent, c’est le moment rédempteur de la musique – une musique qui a pitié d’eux et leur permet de trouver leur propre Passion. (Kim Busch, DOK Leipzig 2015)
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